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Septième étage de France Télévisions, déjeuner avec l’un des pontes du groupe. Lequel raconte que les bons résultats de France 3 masquent une réalité : les crises en chaîne que traversent l’entreprise. C’est ainsi que cela fait des semaines que le journal est perturbé par des mouvements sociaux. La grève d’une maquilleuse a suffit à empêcher, récemment, la diffusion de ce « JT ». J’apprend que la présence de cette maquilleuse est inscrite dans la convention collective de La 3. Et que la remplacer par une maquilleuse extérieure à la chaîne équivaudrait, pour les syndicats de France 3, à un «délit d’entrave». Le règne d’Ubu…