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Invité de l’émission Pif Paf, sur Paris Première (dont je vous recommande de regarder la prochaine édition, ce dimanche), j’ai assisté à une scène un peu ahurissante. Etait, en effet, présent sur le plateau, un certain Jean-Claude Elfassi, paparazzi de métier et garçon à la réputation sulfureuse.

Ce photographe, regardé comme un mouton noir par l’ensemble de ses congénères, est un peu plus connu depuis qu’il a échangé quelques coups avec Daniel Ducruet (l‘ex époux de Stéphanie de Monaco) sur le plateau de Jean-Luc Delarue, à l’occasion d’une édition de Ca se discute consacrée à la presse people, à voir le 24 octobre prochain. En effet, ce jour là, les deux hommes en sont venus allègrement aux mains, après que Ducruet eut provoqué le photographe. Or, qu’apprend t-on sur le plateau de Paris Première, de la bouche même de ce dernier qui a déposé plainte? Qu’il avait signé avec la société de production de Jean-Luc Delarue, Réservoir Prod, un contrat de 5000 euros (qu’il a montré à l’antenne), en échange de sa participation à l’émission et d’un pugilat quasi annoncé! "Il n’est pas dans les habitudes d’aller gratuitement sur les plateaux de télé", a t-il dit, avant de préciser: "Je fais une exception pour vous". Merci.

Belles pratiques… Elfassi a ainsi expliqué, sur Paris Première, qu’installé par la production de l‘émission juste derrière Ducruet, il savait que cela allait forcément déraper. C’est ainsi qu’il avait demandé à l’un de ses proches de filmer, avec son téléphone portable,  l’inévitable incident, (que vous verrez, sauf si Delarue décide de le zapper, quitte à s’exposer à un procès), afin de pouvoir se retourner juridiquement vers Ducruet… Les images de ce pugilat sont sur le Net depuis quelques jours et l’indécrottable Elfassi a déposé un référé, exigeant de Réservoir Prod de visionner la scène, en exigeant qu’elle soit diffusée, sur France 2, dans son intégralité. Le beurre et l‘argent du beurre.

Ainsi va parfois la télé. Entre dessous de table et petites combines. J’ai en tous cas rarement vu un personnage, au demeurant pas antipathique, aussi sans foi, ni loi et habité d’un tel cynisme.