ImmediaS

Dans les coulisses de cette même émission, sur Direct 8, un confrère m’explique avoir rencontré, récemment, Michel Drucker. On sait depuis longtemps le journaliste totalement hypocondriaque, mais j’étais convaincu, qu’avec l’age, l’homme s’était apaisé. Et que cette terreur qu’il a toujours manifesté à l’égard de la maladie, avait fini par le quitter.

Détrompons-nous, car pas du tout ! Ce journaliste me raconte, ainsi, que Drucker a toujours, encore aujourd’hui, à portée de main, dans sa voiture, un tensiomètre. L’anecdote m’avait été racontée il y a des années de cela, déjà ,et je constate que, contrairement à ce que j’imaginais, l’ustensile est toujours là, au cas où…

Autre toc du personnage : à chaque fois qu’il se fait faire un check-up, assorti d’une batterie d’analyses, notre homme emporte ses résultats dans un labo voisin, afin de les faire le plus souvent vérifier par un autre praticien. Quitte à procéder à une seconde salve de piqûres si, d’aventure, une petite crainte persistait,  un petit doute venait à subsister…Mais ne rions pas, car le résultat est là, criant, chaque dimanche, sur France 2 :  Drucker, qui mène une vie d’ascète, semble un roc. Un homme de fer.