
Sixième étage de Publicis…l’antre du seigneur des réseaux, Maurice Lévy. Moquette beige, éclairage tamisé, divans en moleskine et glaces au plafond, le lieu n’a pas changé depuis vingt cinq ans: toujours aussi kitch et étrangement désuet. Rencontre avec le maître des lieux, le patron d’un empire publicitaire jalousé, la figure tutélaire d’un métier sur lequel il règne sans partage.
L’age avançant, Maurice Lévy accepte d’évoquer des questions qu’il renâclait à aborder jusqu’ici : son rapport au judaïsme, ses liens avec la politique, ses combats pour les nombreuses causes qu’il défend discrètement, en sourdine, aux quatre coins de la planète, depuis de nombreuses années. Tout cela devrait faire l’objet d’un long entretien, que l’Express envisage de publier bientôt.
On ressort de son bureau, en tous les cas, avec le sentiment d’être plus intelligent, tant l’homme est capable de fulgurances. Et ce qui frappe toujours chez lui, à 70 ans passés, c’est sa connaissance des hommes, son extraordinaire entregent. Oui, l’organisateur du sommet de Davos est sans doute le seul dirigeant français à disposer d’un tel carnet d’adresse, où figurent les noms du Gotha mondial de la finance, de la politique et du show-biz .
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avril 6, 2008
This whole situation is SO absurd. Your post strikes as serious for you only. What can we do but make jokes about it?
avril 9, 2008
Yeah, but never the less, I think this post is debatable.