Ex Libris et Vol de nuit resteront, en effet, dans l’histoire de TF1 deux Ovnis qui ne doivent leur salut qu’à la pugnacité de celui qui s’est battu, bec et ongle, pour qu’elles ne disparaissent pas dans ce cimetière des ambitions culturelles qu’est « La Une », l’une ayant remplacé l’autre. Le monde de l’édition devrait ériger une statue à celui qui reste l’un des derniers avocats du livre à la télévision.
Un PPDA qui du menaçer, à plusieurs reprises, de jeter l’éponge du 20 heures, si on ne lui conservait pas un petit réduit, un simple interstice, dans la grille des programmes d’une chaîne pour qui le livre ne peut-être l’objet que d’un maigre entrefilet glissé en toute fin de journal. Rien que pour cela, le journaliste mérite un coup de chapeau.
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mai 21, 2008
OK, mais il les lit ?
Bonjour chez vous