Laurence Piot, papesse de Closer et journaliste de talent, me passe un coup de fil pour réagir aux quelques lignes que j’ai écrite, plus haut, à propos de son journal.
Si elle admet que le lancement de Closer, (comme toute création de journal), fut dur, les conditions de travail sont aujourd’hui régies par des règles claires. Elle indique ainsi que Closer est aujourd’hui le seul hebdo en France à avoir mis en place ce qu’elle appelle des « déclaratifs horaires ». Donc pas d’heures supplémentaires chez Closer…
Quant aux quelques licenciements effectués, il s’agit de « cas très, très, isolés », selon elle : « la vie d’une rédaction, qu’il s’agisse de celle de Closer ou de l’Express, est parfois traversée de petites poussées de fièvre, inhérentes à ce métier ». Voilà qui est dit.
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septembre 15, 2008
Et à l’Express tout va bien ? pas de tension dans la rédaction ? les 35h sont bien respectées ? aucune heure supplémentaire ? aucun licenciement depuis le changement de direction ? merci pour tes infos très détaillées bien sûr car je pense que ça va intéresser tout le monde ici…
septembre 15, 2008
Et le harcèlement moral, dont sont ou ont été victimes plusieurs membres de l’équipe Closer, c’est aussi inhérent à ce métier?
septembre 16, 2008
Quel bel exemple d’objectivité journalistique… S’appuyer sur les dires d’une personne, sans même chercher à établir un débat contradictoire avant publication, relève du non-événement.
Je lis harcèlement par-ci, harcèlement par là. Tout ceci relève de l’acrimonie et du ressentiment.
Closer se porte bien, merci aux thuriféraires des polémiques tronquées.
Quant à citer Laurence Pieau, rédactrice en chef compétente, accessible et humaine, merci de ne pas écorcher son nom.
Pour un journaliste confirmé, je ne comprends pas que vous ne vous soyez pas posé les bonnes questions. Comment croyez-vous que Closer ait pu atteindre le sommet en si peu de temps. S’agit-il du travail d’un seul ou de plusieurs ?
Un leader contesté ne mène pas ses troupes à la victoire.
Que chacun balaie devant sa porte.