Tensions et confusions à France 24 avec les mises à pied du patron de l’info, Grégoire Deniau et de son rédacteur en chef, Bertrand Coq. Le licenciement du premier, pour faute professionnelle, suscite des remous en interne, où les syndicats de journalistes s’émeuvent de la brutalité de la sanction. Il semble que l’élément qui ait fait office de goutte d’eau soit la diffusion récente d’un débat sur les thèses négationnistes du 11 septembre. « C’est l’arbre qui cache la forêt », réagit un journaliste contactée, qui explique que les relations entre Grégoire Deniau et la directrice générale de l’audiovisuel extérieur, Christine Ockrent, étaient au plus mal depuis des semaines. Et qu’une reprise en main de la rédaction était, en vérité, programmée de longue date. Profil bas à tous les étages : bunkérisée, la direction de la rédaction, incarnée depuis par Gérard Saint-Paul était injoignable ce matin. Mieux, au standard de France 24, on m’indiquait, même, qu’aucune assistante ne souhaitait me prendre au téléphone. Quant à un autre journaliste interrogé, il m’a amicalement conseillé de prendre contact avec la direction de la communication. Bel exemple de transparence pour une entreprise de communication…
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septembre 18, 2008
Bonjour
Au delà des péripéties internes à une rédaction, ce qui est insupportable (et bien français) c’est que l’épouse d’un ministre en exercice soit placée à la tête d’une télévision d’état ! Mais il y a longtemps que ces dérapages se passent dans l’indifférence générale. Alors continuons….
septembre 18, 2008
slt à tous
Je viens de créer un blog :
http://deslettresetdesmots.over-blog.com/
Bonnes lectures
septembre 22, 2008
Moi je veux un procès des medias et de leurs dirigeants pour toute cette désinformation relayée sur le 11 septembre…reprenez les videos disponibles et affirmez enfin qu’un boeing n’a pas touché le pentagone!!! où se trouve votre intérêt dans le mensonge?????
septembre 23, 2008
Il est des fois où l’on veut à ce point voire des raisons gluantes que l’on se précipite.
Il est des fois où les histoires n’en sont pas.
Des fois où le fond est bassement prosaïque.
Deniau bouc émissaire d’une faillite probable de France24:
http://www.rue89.com/2008/09/23/la-chaine-americaine-nbc-peut-mettre-france-24-sur-la-paille
Le gouvernement ira t-il à la rescousse de la « voix de la France dans le monde » lorsque les avocats d’NBC et autres lésés auront rédigés?
M’étant également précipité j’en viens à revoir mon taux de conspirationnisme à la baisse…
Quand bien même, la France, de sa voix, vient de donner au monde une bien curieuse définition du droit à l’image.