Clearstream vient de proposer une paix des braves au journaliste très pugnace Denis Robert, à l’origine de nombreuses investigations tout au long de cette longue affaire, et de mettre fin aux poursuites engagées contre lui. Un communiqué du groupe le confirme : Je vous le livre.
« Le 16 juin 2008, Monsieur Denis Robert annonçait qu’il « jetait l’éponge » dans « L’affaire Clearstream», et qu’il renonçait dorénavant à toute intervention publique à propos de Clearstream.
Le 16 octobre 2008, la Cour d’appel de Paris a triplement condamné Denis Robert pour diffamation au titre de ses deux principaux ouvrages « Revélations » et « La Boite Noire », ainsi que pour le documentaire diffusé sur CANAL +, « Les Dissimulateurs ».
A ce jour, c’est donc à 9 reprises que les justices française, belge et luxembourgeoise ont condamné Monsieur Robert et ses méthodes d’enquête, toutes ces décisions confirmant les résultats des enquêtes judiciaires luxembourgeoises et françaises concluant à « l’inanité » des prétendues « révélations » de Denis Robert.
Clearstream, constatant que la vérité est aujourd’hui établie par la justice et que Monsieur Robert a annoncé ne plus vouloir s’exprimer sur cette affaire, accepterait, dans un souci d’apaisement, de mettre un terme aux procédures de diffamation en cours.
Dès lors Clearstream propose à Monsieur Robert de ne pas exécuter, à compter de ce jour, les décisions de justice rendues à son encontre et de ne pas poursuivre les instances en diffamation encore en cours pour autant que Monsieur Robert accepte également de mettre un terme à toutes ces procédures.
Il revient donc aujourd’hui à Monsieur Denis Robert, victime de son propre acharnement à diffamer sans relâche Clearstream depuis 7 ans, de mettre un terme ou pas aux contentieux en diffamation, dont il se plaint et de se décharger ainsi du fardeau procédural qu’il dénonce tout en en étant à l’origine ».
« Acharnement », « diffamation », « fardeau procédural »…le moins que l’on puisse dire, c’est que le contenu de ce communiqué, pour le moins rude, dans sa forme, ne témoigne pas d’un grand apaisement du coté de Clearstream, où l’on n’a pas jamais vraiment digéré les écrits et les propos de Denis Robert, balayés d’un revers de main. Mais il est vrai, sanctionnés par la justice.
Volonté de tourner la page et d’en finir avec une guérilla judiciaire épuisante pour les deux parties? La balle est désormais dans le camp du journaliste.
0
octobre 22, 2008
Protection POLITIQUE pour la famille d’une fonctionnaire internationale de la Cour européenne des DH
Veuillez rappeler au Président français Nicolas Sarkozy, qui détient la présidence du Conseil de l’Union européenne (le Conseil européen) pendant le 2e semestre de 2008, que depuis le mois de mars 2008 il n’a pas répondu à ma demande de protection politique alors que M. Kouchner est venu au Conseil de l’Europe en avril 2008 et y a rendu expressément hommage à ceux que j’avais dénoncés dans ma demande (voir ci-dessous) pour leurs agissements criminels à l’encontre de ma famille
Je dois rectifier les deux liens hypertextes dans le message ci-dessous car le Conseil de l’Europe les modifie en permanence pour dissimuler ces agissements criminels.
En septembre 2008, les liens ont été modifiés comme suit :
Page456-
http://www.coe.int/t/dghl/monitoring/socialcharter/Conclusions/
State/Romania2003_fr.pdf
Page35-
http://www.coe.int/t/dghl/monitoring/socialcharter/Conclusions/
State/Romania2005_fr.pdf
Au lieu d’une réponse à cette Demande urgente du 24 mars 2008, ma famille a reçu des menaces et des pressions policières…
Demande urgente de PROTECTION politique et d’ENQUETE, aucun recours légal n’est possible (!!!) quand la Cour des DH est corrompue
Monsieur le Président de la République française,
Monsieur le Premier Ministre,
Monsieur le Ministre des Affaires étrangères et européennes,
Madame la Secrétaire d’Etat chargée des Droits de l’Homme,
Par lettre rec. avec A/R, courriel et s/c Rep.perm. de la France auprès du CdE
Strasbourg, le 24 mars 2008
Demande urgente de PROTECTION de l’Etat français pour arrêter l’anéantissement programmé de la famille de l’agente permanente de la Cour européenne des droits de l’homme/Conseil de l’Europe (CEDH/CdE) à Strasbourg, Cecilia Adina Glodean, victime de la criminalité transnationale organisée, perpétrée à la CEDH/CdE par le Gouvernement roumain, contre les enfants
Je soussignée, Cecilia Adina Glodean, agente permanente de la Cour des droits de l’Homme à Strasbourg,
– Payée AU NOIR jusqu’en septembre 2007 (ayant travaillé sans interruption sur le même poste depuis janvier 2002 dans la même division juridique franco-roumaine) ;
– Ayant fait la grève de la faim pendant plus de trente jours en avril-mai 2007 afin de déterminer l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe d’ouvrir une enquête sur la criminalité transnationale organisée, perpétrée à la CEDH/CdE par le Gouvernement roumain, dont ma famille est victime ;
– Sans salaire depuis septembre 2007 (quand un virement frauduleux sans numéro d’enregistrement a été effectué par mon employeur sur mon compte bancaire à la Société Générale) alors que j’étais devenue le seul soutien de ma famille suite aux abus criminels de l’Etat roumain contre mon mari – déclaré abusivement déserteur le 08 avril 2004 par le Gouvernement roumain pendant le congé parental approuvé en vertu de la Charte sociale européenne révisée du Conseil de l’Europe (pour élever nos filles jumelles, nées à Strasbourg en mars 2003, jusqu’à leur deuxième anniversaire, car le Conseil de l’Europe, en faisant fi de sa propre charte sociale, ne m’a pas octroyé un congé parental) et condamné à quatre ans de prison ferme par la justice roumaine incitée à la fraude à la loi en date du 11 avril 2006, par le Premier ministre roumain Popescu-Tariceanu et le Ministre roumain des Affaires étrangères de l’époque (nommé le Chef du Service des Renseignements Extérieurs-SIE par le Président de Roumanie) qui ont menti publiquement tous deux au Conseil de l’Europe à l’encontre de mon mari, dans des communiqués publiés sur Internet, en contradiction flagrante avec la position du Gouvernement contenue dans la Décision n°90/10.02.2005 de la Cour Constitutionnelle et qui ont corrompu à l’encontre de mon mari et contre les enfants, le Comité européen des droits sociaux du Conseil de l’Europe sous la Présidence de Jean-Michel Belorgey, conseiller d’Etat, membre du collège de la Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l’Egalité-HALDE de France (qui a ainsi porté atteinte à l’intégrité de toutes ses charges publiques) ;
– Vu qu’aucun recours légal n’est possible quand la Cour européenne des droits de l’homme, qui est le « contrôleur » de la justice en Europe, est corrompue :
a. les tribunaux français : de Grande Instance de Paris, de Grande Instance de Nancy-compétent pour l’extorsion en bande organisée-, d’Instance/de Grande Instance de Strasbourg, refusent de reconnaître mes actions en justice (y compris ma demande de mesures urgentes pour la survie de ma famille et la demande de dispense de consignation en tant que partie civile) contre le Conseil de l’Europe/Cour européenne des droits de l’homme et leurs représentants qui ont agi en bande organisée/association de malfaiteurs, en violation flagrante de la loi pénale française – violation expressément prohibée par l’art.30 du Statut du Personnel du Conseil de l’Europe, afin de NE PAS constater l’évidence : les documents manifestement illicites élaborés par le Conseil de l’Europe dans un dessein criminel à mon encontre et à l’encontre de ma famille ;
b. le Tribunal Administratif du Conseil de l’Europe, afin d’étouffer la corruption de l’Organisation, ne m’a pas répondu à mes demandes répétées d’AUDIENCE, envoyées par lettres recommandées avec avis de réception, et ne m’a fait aucune communication légale depuis 2005 ;
SOLLICITE d’urgence à l’Etat français la PROTECTION de ma famille, à savoir :
1. un entretien avec M. Bernard Kouchner, Ministre des Affaires étrangères et européennes, lors de sa visite à Strasbourg au Conseil de l’Europe en date du 17 avril 2008, vu l’urgence (le Conseil de l’Europe, en nous coupant les vivres dans un style purement mafieux, nous empêche, mon mari et moi, d’assumer nos devoirs de parents – payer le loyer, les factures, les soins, etc.- et met mon mari dans l’impossibilité de poursuivre à terme ses recours pour se défendre devant la justice roumaine afin d’éviter une condamnation définitive) et afin que M. Kouchner puisse constater en quelques minutes :
a) la corruption du Comité européen des droits sociaux du Conseil de l’Europe par le Gouvernement roumain à l’encontre de mon mari et contre les enfants, publiée depuis 2005 sur le site Internet du Conseil de l’Europe, explications détaillées et preuves à l’appui ;
b) mon contrat de travail AU NOIR sans numéro d’enregistrement sur un poste permanent au greffe de la Cour des droits de l’homme (contrat illicite, obscure et occulte car il ne contient pas les mentions légales obligatoires, « bricolé » ad-hoc dans le but de m’escroquer) sur lequel, Catherine Mabileau, directrice des ressources humaines du Conseil de l’Europe, sur ordre du Gouvernement roumain, m’a extorqué la signature en bande organisée, le 25.01.2005, par contrainte, manœuvres frauduleuses, abus de confiance, abus de détresse morale et de précarité dues à la terreur exercée par l’Etat roumain sur ma famille ;
c) le refus illégal de mon employeur de me délivrer un Certificat de Service (art.48 du Statut du Personnel du Conseil de l’Europe) qui certifie en droit ma continuité de facto sur le même poste depuis janvier 2002, laquelle a été fraudée en janvier 2005 dans mon sixième contrat de travail à la Cour des droits de l’homme afin de me priver de mon droit à un contrat à durée indéterminée en bonne et due forme, droit acquis par concours extérieur ainsi que par continuité et par des états de service élogieux depuis 2002 ;
d) l’extorsion de ma signature en bande organisée coordonnée par E.Fribergh, le Greffier de la Cour le 12.10.2006, lors de mon arrêt de maladie, par abus de faiblesse, terreur psychologique et manœuvres dolosives, sur la copie d’un document dont l’original je l’avais signé avant l’arrêt de maladie ;
e) les documents officiels d’approbation du congé parental de mon mari, documents que la justice roumaine, dirigée par la femme du juge roumain à la Cour européenne des droits de l’homme, refuse de lire, ainsi que la condamnation politique de mon mari, sur ordre du Premier ministre roumain, à 4 (quatre) ans de prison ferme pour désertion (!!!) après son licenciement illégal pendant son congé parental approuvé ;
f) le parjure du juge roumain à la Cour européenne des droits de l’homme contre ma famille.
2. des démarches urgentes, à travers le Ministre français des Affaires étrangères qui est membre du Comité des Ministres du Conseil de l’Europe, ainsi qu’à travers la délégation française à l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE) et, notamment, à travers le Vice-président français de l’APCE, pour l’ouverture d’une ENQUETE sur la criminalité organisée perpétrée au Conseil de l’Europe sur ordre du Gouvernement roumain, afin de rendre justice à ma famille et dans l’intérêt de la justice et des droits de l’homme en Europe, car la corruption au Conseil de l’Europe et, notamment, à la Cour européenne des droits de l’homme est la responsabilité de la France, du fait du Président français de la Cour mais, avant tout, du fait que la France n’a pas ratifié à ce jour la Convention pénale sur la corruption élaborée par le Conseil de l’Europe, convention qui permettrait que les juges de la Cour des droits de l’homme soient jugés pour corruption ;
3. la remise de mon Titre de Séjour Spécial et de celui de mon mari, renouvelés en janvier 2007 par le Ministère français des Affaires étrangères (le Conseil de l’Europe était censé nous les remettre depuis) et la délivrance par le M.A.E. français des Titres de Séjour Spécial pour nos filles jumelles (section de Moyens, école maternelle à Strasbourg) qui viennent tout juste d’avoir 5 ans (cinq ans de calvaire et de terreur exercée par l’Etat roumain sur notre famille avec acharnement et avec le concours criminel de la Cour européenne des droits de l’homme, du Conseil de l’Europe, de la Police et de la Poste françaises ainsi que d’autres institutions de l’Etat français).
Depuis le 12 octobre 2006, quand le Greffier de la Cour m’a extorqué la signature, je travaille à domicile, en vertu des approbations tacites successives par le virement de mon salaire sur mon compte, contre la criminalité organisée au Conseil de l’Europe afin de déterminer l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe d’ouvrir une enquête.
Le Président français de la Cour des droits de l’homme, Jean-Paul Costa, traîne dans la fange, tous les jours et en toute impunité, la mémoire de René Cassin. En violation continue de l’article 6 de la Convention des droits de l’homme, il refuse d’ouvrir une enquête contradictoire effective sur l’extorsion de ma signature en bande organisée coordonnée par le Greffier de la Cour et, en complicité avec le juge roumain, il bloque le dossier de mon mari à la Cour européenne des droits de l’homme (requête n°33513/2005).
CORRUPTION du Comité européen des droits sociaux (CEDS) du Conseil de l’Europe par le Gouvernement roumain :
—- Art.27§2-« Congé parental » de la Charte sociale révisée (ChSocRev) du Conseil de l’Europe, prévoit le droit :
«… pour chaque parent, au cours d’une période après le congé de maternité, d’obtenir un congé parental pour s’occuper d’un enfant … »
—- Conclusion de 2003 du CEDS sur le congé parental en Roumanie (avant que mon mari soit déclaré déserteur) :
«… le père ou la mère ont droit à un congé parental rémunéré jusqu’au deuxième anniversaire de l’enfant… »
Page456 (http://www.coe.int/t/f/droits_de_l%27homme/cse/3_proc%E9dure_de_rapports/2_conclusions_r%E9centes/1_par_etats/Roumanie_2003.pdf) –lien modifié en permanence par le Conseil de l’Europe pour dissimuler ces agissements criminels (en septembre 2008 ce lien a été modifié comme suit : http://www.coe.int/t/dghl/monitoring/socialcharter/Conclusions/
State/Romania2003_fr.pdf
—- Conclusion de 2005 du CEDS (rédigée avec tromperie, en contradiction avec la Conclusion de 2003 et en violation des art.27§2 et E-« Non-discrimination » de la ChSocRev, car discrimination fondée sur le sexe et détournement de but) adoptée à l’unanimité (!), sans aucune opinion dissidente :
« …le père d’un enfant peut se voir accorder un congé parental sans solde de cinq jours ouvrables… la situation de la Roumanie est conforme à l’article 27§2 de la Charte révisée. »
Page 35-(http://www.coe.int/t/f/droits_de_l%27homme/cse/3_proc%E9dure_de_rapports/2_conclusions_r%E9centes/1_par_etats/Roumanie_2005.pdf) –lien modifié en permanence par le Conseil de l’Europe pour dissimuler ces agissements criminels (en septembre 2008 ce lien a été modifié comme suit : http://www.coe.int/t/dghl/monitoring/socialcharter/Conclusions/
State/Romania2005_fr.pdf
Ma famille survit (jusqu’à quand ???) en marge de la société et dans la terreur où elle a été poussée par les « sous-hommes » de la Cour européenne des droits de l’homme/Conseil de l’Europe – richement payés pour défendre les droits de l’homme sans se laisser corrompre par les gouvernements.
Cecilia Adina GLODEAN
Agente permanente de la Cour européenne des droits de l’homme/Conseil de l’Europe
22 rue du Général Lejeune, 67000 Strasbourg, tel: 03.88.41.99.41, glodeanadina_11@yahoo.fr
octobre 23, 2008
BiBi soutient Denis Robert dans son combat contre les trop puissantes Chambres de Compensation dont on ne dit PAS UN MOT dans la crise financière du moment. BiBi a même entendu que le Luxembourg a une des presses les plus libres de la Planète. André Roelants est un charmant garçon. Peut-il juste nous expliquer pour quelle raison André Lussi a démissionné ? Et qu’est-ce que Clearstream a à dire des listings publiés sur le blog La Domination du Monde ?
BiBi a svt parlé à rebours du Monde et de ses Nouvelles. Il continue sur son site et il salue Renaud Revel découvert par hasard
A bibientôt… (pour un lien ?)
BiBi (http://www.pensezbibi.com)
octobre 23, 2008
Juste une question :
« La » chambre de compensation voyant le vent tourner avec la récente crise financière, n’aurait elle pas une seconde de lucidité pour ainsi ne pas achever un homme à terre ?