C’est un pied de nez comme Nicolas de Tavernost les aime…Au moment où le Paris Saint-Germain s’enfonce dans la crise, avec une énième révolution de palais et que l’Olympique de Marseille connaît, en coulisses, une nouvelle poussée de fièvre, le PDG de M6 et actionnaire des Girondins de Bordeaux, a beau jeu d’afficher la sérénité.
Car le groupe qu’il préside et dont il tient serrés les cordons de la bourse, n’aura investit dans le club bordelais, et en tout et pour tout depuis son acquisition, en 1999, que 120 millions de francs. Quand le propriétaire de l’OM, Robert Louis Dreyfus, dit avoir déboursé, de sa poche, au fil de l’eau, la bagatelle de 100 millions…d’euros.
Et les bénéfices sont là. En effet, les Girondins affichent, depuis cinq ans, des résultats financiers au beau fixe : avec 11,8 millions d’euros de bénéfices, pour la seule saison 2007-2008. Si ce n’est pas le Pérou, c’est en tous les cas de la bonne gestion.
Nicolas de Tavernost, qui devait annoncer, aujourd’hui, la signature d’un nouveau contrat de deux ans avec l’entraîneur du club des Girondins et ancien « Bleu » de l’équipe de France, Laurent Blanc, me faisait, il y a peu, cette comparaison audacieuse: «Le foot, c’est comme la télé. Un bon directeur des programmes fait une bonne chaîne. Or avec un président de club comme Jean-Louis Trillaud, j’ai trouvé mon Etienne Mougeotte ou mon Thomas Valentin».
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janvier 26, 2009
Il fait des fautes d’orthographe en parlant, Tavernost ?? « Trillaud… » Faudra faire des recherches, Monsieur Revel !