Si le sort de Christine Ockrent est scellé, au sein de l’Audiovisuel extérieur de la France, où tout n’est plus qu’affaire d’indemnités, celui d’Alain Pouzilhac, le PDG de l’AEF, l’est tout autant. Ce dernier, qui conservera ses fonctions verra l’arrivée à ses côtés, non pas d’un nouveau directeur général, en lieu et place de la « Reine Christine», mais d’un super directeur financier chargé de remettre de l’ordre dans les comptes de cette grande maison.
Remis en selle, et confirmé à son poste par l’Elysée, Alain de Pouzilhac, hérite par ailleurs d’une nouvelle tutelle, en la personne d’Alain Juppé, qui débarque au Quai d’Orsay. Et nul doute que ce dernier, aura à cœur de suivre de prés l’avenir de l’AEF. Le monde des médias conserve en effet d’Alain Juppé, lorsqu’il était à Matignon, le souvenir d’un Premier ministre soucieux de ses préogatives et particulièrement interventionniste.
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février 28, 2011
Quand j’ai lu AEF, j’ai lu « Afrique Equatoriale Française » ! Je me suis précipité pensant trouver un papier au vitriol sur quelques liens obscurs entre Juppé et quelques dictateurs amis du Cameroun ou d’ailleurs. Las ! Il ne s’agissait que d’un épisode mineur d’un feuilleton nul qui n’intéresse personne au-delà du périphérique : les clichés de la voluptueuse visiteuse ont plus d’avenir.
mars 3, 2011
Quel épilogue !
Alain de Pouzilhac est pourtant à l’origine de cette magouille bidon afin d’éliminer sa concurrente.
Mais hélas, cette entreprise n’y gagne rien au change car il est spécialiste des dépenses somptuaires et fait preuve d’une rare incompétence en matière audiovisuelle.
Il suffit de constater l’état dans lequel il a laissé chaque « maison » qu’il a quittée…