Le Parti Socialiste, par la voix de Martine Aubry, l’a déjà dit et une majorité à l’UMP, dont Jean-François Copé, y est prête : la nomination des PDG de chaînes de service public par le chef de l‘Etat est une mesure sur laquelle il faudra revenir. Il n’y a qu’en fait que Nicolas Sarkozy pour défendre, (mollement), cette initiative contestée de toute part, jusque dans l’opinion, sondages à l’appui.
Mais ça bouge du côté de l‘Elysée où tout le monde a pris conscience que cette question risque d’émerger durant la campagne. Si bien que Nicolas Sarkozy, conscient du caractère impopulaire et contre-productive de cette mesure, perçue comme un formidable retour en arrière, devrait là aussi opérer un virage à angle droit. Au sein de son propre camp, on l’y encourage et lui-même convient que ce mode de nomination est moins une avancée, qu’une source de frictions et de malentendus avec le monde des médias. C’est ainsi que Nicolas Sarkozy, ayant entendu le critiques et les réserves, devrait proposer une nouvelle et profonde réforme du système durant la prochaine campagne présidentielle. .
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juin 28, 2011
« conscient du caractère impopulaire et contre-productive de cette mesure. »
« Contre-productif », pas « -ve ». C’est le caractère qui est impopulaire, etc, pas la mesure.
juin 29, 2011
La seule décision qui me paraisse appropriée après une bourde comme celle la , c’est d’abroger la loi confiant au President de la République le pouvoir de nommer tous les présidents des radios et des télévisions publiques . Cette décision permettrait le retour AUTOMATIQUE à l’ancienne loi .
juillet 6, 2011
L
a seule décision qui parait appropriée c’est que Ce président disparaisse de notre scène publique
juin 29, 2011
Chaînes publiques: Nicolas Sarkozy prêt à un virage à 180°.
devrait là aussi opérer un virage à angle droit.
angle droit 90°.