C’est finalement un mécène et pas n’importe lequel, l’héritière du fondateur de l’Oréal, Liliane Bettencourt, qui vient épauler celui que l’on a baptisé le « petit prince de la télé réalité », Stéphane Courbit. La richissime héritière vient en effet de prendre 20% du capital de LGI, la structure de tête de Love Groupe, la société de ce jeune entrepreneur reconverti dans l’énergie, les jeux en ligne et…la production d’émissions de télévision.
Voilà des mois que ce dernier, conseillé par Alain Minc, se cherchait un actionnaire de renfort. Et c’est de manière assez inattendue qu’il s’est tourné vers celle dont on avait pas évoqué le nom à ce jour. C’est via l’une de ses structures satellites, la Financière Larcouest, que la milliardaire réalise cette opération. Un investissement minime pour Liliane Bettencourt, mais un ballon d’oxygène pour Stéphane Courbit, dont les activités nécessitaient un apport en capital. L’ancien producteur de Loft Story ou de la Star Académy, dont certaines des activités, comme les jeux en ligne, connaissaient un développement poussif, peut respirer et envisager ainsi de nouvelles initiatives. Avec le rachat en cascade, depuis 5 ans, d’une brochette de sociétés de production, il est en passe de devenir le tout premier producteur d’émissions de télévision en France.
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juin 1, 2011
Elle a bien raison, Liliane, d’associer son nom à tous ces grands programmes de qualité qui font l »honneur de la création française et les beaux soirs de la Une et de la Six…! Décidément, elle a le mécénat sélectif!
En même temps, à voir les tonnes de gel et de teintures à blondes employées par nos jeunes forçats de la télépoubelle, il y a là une certaine synergie d’activité que l’on ne saurait nier…
juin 1, 2011
je jure sur l’honneur que jamais plus je n’achèterai de produit d’une …. complétez vous même ! mais qu’est ce qu’elle recherche, du fric? comment écouler ses studio Line ? ca va moi j’en peux plus de cette mémé que je n’aimerai pas avoir comme grand mere. J’aimerais conclure comme elle avec C Chazal, son mot qui résume bien toute la tendresse :Raüs!
juin 1, 2011
Quand on aime, on ne compte pas … les fautes d’orthographe et d’inattention: la société de Stéphane Courbit (C majuscule au passage) s’écrit Lov. Et en français, les phrases négatives s’accommodent bien d’un « ne » (dont on avait pas évoqué le nom…). M. Revel, l’Express ne pourrait pas vous offrir un correcteur d’orthographe afin de rendre vos papiers, toujours truffés de fautes, plus agréables à lire ?
juin 3, 2011
franchement ortho, c’est le niveaux des consommateurs de Lov.la seule pub qu’il retienne :Stu stu studioline, de Liliane
juin 1, 2011
Bravo à LOV…
si ça c’est pas une réussite, à la française.
partis de rien arriver si haut.
BRAVO Mr Courbit
juin 8, 2011
si elle pouvait me prêter un petit million ça m’éviterai de faire une connerie ? et payer mon loyer
juin 8, 2011
si elle pouvait me prêter un petit million ça m’éviterai de faire une connerie et payer mon loyer !!!
juillet 21, 2011
je sais malheureusement ce que cela représente, cette maladie ou l’on peut rayer de son passé proche, on oublie, mais ce n’est pas pour cette raison que l’on doit mettre sa mère sous tutelle, ou curatelle, on peut le faire d’une façon plus élégante surveiller les comptes, mais mettre la justice c’est l’horreur, les questions des médecins je suis passée par là et m’en serait bien passé