Alors que la puissante association de l’Union des annonceurs, (UDA), plaide pour un maintien de la publicité, avant 20 heures, sur France Télévisions, -bien que la loi prévoit sa suppression totale, à l’horizon du mois de janvier 2014 -, le groupe audiovisuel piloté par Rémy Pflimlin traverse une zone de turbulences sur le plan financier. Crise économique oblige, « France Télés » accuse une perte de recettes d’un peu plus de 30 millions d’euros au premier trimestre, sur son plan d’affaires. Et les projections pour l’année en cours, pessimistes, indiqueraient un manque à gagner de plus de 70 millions d’euros. Au-delà de la mauvaise conjoncture, c’est tout le modèle économique de France Télévisions qui est touché de plein fouet. Car, question: où trouver des recettes ? Dans la mesure où une augmentation de la redevance télé semble inenvisageable, à droite comme à gauche, pour des raisons politiques et qu’un retour en arrière, avec une réintroduction de la publicité en soirée, semble également totalement écarté, à gauche comme à droite, la situation risque de se tendre sur le plan des finances du groupe à l’horizon de la fin de l’année. Alors que Rémy Pflimlin aura enjambé une élection présidentielle à hauts risques.
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avril 2, 2012
Bonjour ,
France télé a besoin d’argent ,son PDG devrait commencer par diminuer les revenus des animateurs tel que …. et compagnie qui se font payer beaucoup trop chère leurs émissions et comme cela ne suffit pas on en rajoute, comme ci ses personnages là, étaient indispensables .
Ne pas oublier les copains des copains, la famille etc… qui n’ont rien à faire dans ce système mais qui sont présents ou présentes et rémunérés par notre redevance .Un bon coup de balai dans la fourmilière et on verrait que les économies seraient faites.Pourquoi tant de présentateurs au JT tel que …. qui n’a mm pas son diplôme de journaliste et qui présente car la famille veille,autant de questions que vous journalistes vous devriez exposer mais ???
A+
avril 2, 2012
Ce n’est pas en 2014 mais en 2016 qu’est prévue la suppression totale de la pub. Aura-t-elle lieu, j’en doute fortement…
Pour le reste de votre analyse visant à démonter une nouvelle fois le service public (alors que la crise du marché publicitaire traverse toutes les chaînes. Que dire alors du « modèle économique » des chaînes privées ?…), on va laisser finir l’année qui n’en est qu’à ses débuts. Les comptes, on les fait à la fin et en prenant soin de ne pas oublier les Jeux Olympiques (sans décalage horaire) très porteurs pour les recettes…
décembre 13, 2012
on nous impose du pujadas nagui druker et compaguie, faut etre maso.
décembre 13, 2012
on nous impose du pujadas nagui druker et compaguie et il faut payer? faut etre maso.