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Rebelote. La propriétaire et dirigeante du groupe Amaury, Marie-Odile Amaury, remet à nouveau en vente son titre phare, Le Parisien-Aujourd’hui en France. Celle qui avait refusé, en novembre 2010, une offre de reprise de Vincent Bolloré,– d’un montant de 130 millions d’euros-, cherche un nouveau repreneur. Avec des ventes en baisse de 10,66%,( à 232.506 exemplaires) et un déficit de 10 millions d’euros, en 2013, ce quotdien traverse une crise. A l’image de l’ensemble de la presse quotidienne, exception faite des Echos et de La Croix.

Qui pour racheter ces deux titres jumelés et à quel prix ? C’est tout le casse-tête. Les dépréciations de valeurs des entreprises de presse effraient leurs propriétaires; qui voient leur capital fondre comme neige au soleil. Ainsi du Nouvel Observateur, qui vient de passer entre les mains de Xavier Niels, pour la somme de 7 millions d’euros. Ainsi également de la dévaluation spectaculaire sur le marché d’un autre hebdomadaire, Marianne, dont le prix de vente se situe aux alentours de 3 millions d’euros.