Vanity Fair, dont c’est le huitième numéro, en kiosque, tourne en moyene aux alentours de 100 000 exemplaires de vente : le rythme de croisière d’un mensuel, dont c’était là l’objectif fixé, lors de son lancement, après un départ tonitruant, par le patron de Condenast France, maison-mère de ce magazine, Xavier Romatet.
L’objectif est maintenant de développer la marque. C’est ainsi qu’à l’horizon 2015 des évènements, des expositions des programmes de télévision, voir une gamme de produits dérivés, seront lancés autour du mensuel piloté par Michel Denisot. A l’instar de la politique de diversification imaginée autour du magazine de déco AD, – du même groupe-, qui lance en mars le salon AD Collection, où l’on attend quelques 20 000 visiteurs payants. Autre développement de Romatet: une prise de participation dans le site communautaire d’achat et de vente de produit de luxe, Vestiaire Collectif. Vous avez dit crise ?
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février 7, 2014
Ah, sacré Renaud, encore un article écrit avec les pieds… A quand un cours sur le bon usage de la virgule ? Et par ailleurs :
Condenast n’existe pas, Condé Nast, si.
« Quelque » devant un nombre est un adverbe, donc invariable.
Enfin, le site s’appelle « Vestiaire Collective », et non collectif.
Vous avez dit guignol ?
février 8, 2014
100 000 ? Je demande à voir l’OJD. Montrez-le nous ! Parce que sinon, ça ressemble à de l’enfumage.
février 28, 2014
@Phil : il suffit d’aller sur OJD.com, rubrique nos chiffres et vous verrez que les chiffres de diffusion de Vantity Fair se cassent la binette. Je ne leur donne pas 2 ans !!