Adapté en février 2015, Une chance de trop avait embarqué près de 8 millions de téléspectateurs, sur TF1. Vous revenez sur cette même chaîne avec un autre de vos livres, Juste un regard : Pourquoi avoir choisi cet ouvrage, plutôt qu’un autre, parmi votre volumineuse production ?
Harlan Coben : Parce qu’il y a dans ce livre un rythme, un mode de narration, une couleur, une densité particulière, brefs toute une série de rebondissement et d’artifices d’écriture, comme de nombreux flash-backs, qui me laissaient à penser que cet ouvrage ferait une bonne série télé. Bien plus élaborée encore que la précédente. D’une certaine manière, si vous lisez bien ce livre, vous n’avez aucune chance d’en découvrir l’épilogue. Que peut-on rêver de mieux pour une série? Dernier argument, je souhaitais la présence d’un rôle féminin puissant à l’écran, incarnée en l’occurrence par Virginie Ledoyen. Avec, à ses côtés, une autre femme, Julie Gayet, qui est tout bonnement exceptionnelle.
Lire la suite sur le JDD.fr: http://www.lejdd.fr/
0
Me suivre sur twitter