Regain de tensions entre C8, Vincent Bolloré et le CSA à propos de l’émission de Cyril Hanouna, Touches pas à mon poste. Selon le Canard Enchaîné, le patron de Vivendi exigerait de l’organisme de régulation, dirigée par Olivier Schrameck treize millions d’euros dédommagements : soit la perte sèche de revenus publicitaire accusée par C8, suite à l’interdiction, durant trois semaines, de toute diffusion de spots publicitaires dans cette tranche horaire (19h-21h). Cette offensive de l’industriel intervient alors que le CSA s’apprête à rendre (le 19 juillet), une autre décision attendue, consécutive, celle-ci, aux propos jugés « homophobes » de l’animateur. Une seconde sanction (on évoque l’hypothèse d’une suspension temporaire de l’émission à la rentrée de septembre) achèverait de creuser le fossé qui sépare désormais les groupes Vivendi et Canal+ du CSA. La suspension d’un programme de télévision constituerait, en effet, une première en France.
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juillet 17, 2017
Difficile de vous trouver objectif.
Par souci de transparence, quel est le montant de vos prebendes accordées par la production de ce sieur Hanouna, homme de goût, vertueux et cultivé reconnu par l’ académie française.
Vous êtes devenu un collabo de ce fossoyeur de la culture française qui est l’emule de Goebbels: « quand j’entends le mot culture, je dégaine mon pistolet ». Une certaine contradiction concernant un juif étranger communautariste? A moins qu’il ne reflete justement cette autre citation d’un certain Gaulle: … peuple arrogant et sûr de sa superiorité.
Vous vous êtes mis au service d’un representant de la frange la plus radicale du likoud en notre hexagone qui ideologiquement n’est pas plus éloigné qu’un antisemite endurci.
A la soupe, à la soupe…
Vous faisez fi de votre honneur.
Passez le message suivant à vos congénères, le jour de la purge approche. Une etincelle suffira pour débuter la liquidation.
Pensez à vous prévoir une solution de repli: mieux vaut l’exil que la mort dans d’atroces souffrances sous les coups du bourreau et sous les applaudissements de cette même foule qui aujourd’hui constitue votre audience.
A ça ira, ça ira…