
Imaginons la détresse d’un skipper du Vent des globes dont l’esquif, frappée par une avarie, resterait à quai à J-1. Ou la désolation du chômeur empêché de rejoindre un premier emploi, en raison d’une grève soudaine des transports. C’est sans doute l’état d’esprit dans lequel doit se trouver la correspondante d’iTELE à Washington, Laurence Haïm, ...
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