
Passés le cataclysme et sa spectaculaire saignée, avec le départ de quelques 85 journalistes, iTELE tente maintenant de se reconstruire. Interrogé mercredi par le CSA son directeur, Serge Nedjar, a reconnu, au-delà de ses propres «maladresses », une situation « préoccupante». L’heure est maintenant au renflouage d’un navire qui a vu, avec ce conflit historique, la quasi-totalité ...
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